Bon, en théorie devrait s’étaler sous vos yeux ébahis un texte touchant et incroyable écrit par les doigts fins du beau gosse du groupe, là, Fabrice Levillain, sauf que, ce cher homme étant trop occupé à régir l’univers et l’ensemble des lois entropiques qui constituent celui-ci, de fait, votre aimable serviteur se met à la dure tâche d’écrivouiller un court pâté sur cette curiosité harmonique. Disons qu’il est né des assauts répétés du guitariste susnommé à grands coups de riffs funks. Nous ne pûmes nous défendre que par une rythmique qui fait poum tcha tcha et une basse qui fait zoing tadoum zong. Là-dessus, notre pianiste vint s’en mêler en y mélangeant sa sauce de Tong Tong à grands accords posés. Notre survie était définitivement corrompue quand Raphaëlle nous tomba dessus à grands rires avec une voix qui fait grrrwouhahi ho ho, et là, c’était foutu.