Les Crash#3 #4 et #5 ne valant rien, nous passons directement au Crash#6 qui derrière ses allures vaguement civilisé, pseudo techno oldskool ambiant trash/clean et néo-primitif, à moitié dans les sentiers battus, à moitié dans le terrain vague (résolument à coté de la masse), chemise correcte ok, mais froissé, boutons manquants, lunettes Gucchi classes mais rayées, dissimule savament quelques crash bien placés, souterrains, infrastructurels et postrock'n'rollesques qui ne manqueront pas d'éblouir de leur fulgurance nucléaire les fans les plus antédiluviens d'explosions nucléo-stellaires.